J’aime beaucoup les albums de Guy Delisle, et j’avais comme objectif de m’en offrir un lors de ma visite en France. J’aurais préféré acheter « Chroniques birmanes » car je ne l’ai pas encore lu, mais en trouvant celui-ci, je me suis dit que je ne l’avais jamais qu’en anglais, une fois, trop vite dans une bibliothèque.

J’aime bien sa façon de parler de son travail, sa vie, et ses expériences dans un seul album. En plus, c’est intéressant d’avoir une perspective qui date de 1997-1998, et je me demande combieb l’album aurait été différent s’il avait vécu cette expérience plus récemment.

En général, je trouve qu’il est parfois difficile de distinguer les vrais chocs culturels et la xénophobie, et je fais le même constat dans cet album, qui me gène un peu. Pourtant, c’était un plaisir de le (re)lire, et je suis content d’avoir aggrandi ma collection des albums Delisle (même si je reste deçu de ne pas avoir trouvé « Chroniques birmanes » ).

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